L’autre jour sur un groupe Facebook il y avait une discussion autour du logo en cours de création d’une entrepreneuse. De fil en aiguille la discussion a tourné vers l’activité de l’entrepreneuse, ou plutôt de ses différentes activités : trois activités à première vue très distinctes. Pourtant pour l’entrepreneuse, ces trois activités étaient liées, complémentaires.
Quelqu’un a alors répondu, dans un langage plutôt fleuri, que c’était n’importe quoi 😅 Sous-entendu qu’il fallait qu’elle ait UNE activité, bien définie, et puis c’est tout.
Franchement, qu’est-ce qu’on s’en fiche des cases « métiers » : ce qui réunit tout, c’est le Pourquoi.
Dans le cas de cette entrepreneuse, derrière ces trois activités différentes j’ai ressenti le fil rouge : aider les personnes à prendre soin d’elles, à réparer leurs blessures, à vivre plus en harmonie, à se « nourrir mieux » au sens large…
Et c’est ça qui va attirer les gens jusqu’à elle. C’est ça qu’on va ressentir en travaillant avec elle.
Est-ce que le « Comment » est vraiment si important, est-ce que c’est absolument nécessaire d’avoir UNE étiquette bien définie ? Et si l’important c’était ce qu’elle permet à ses clientes, peu importe les outils, le Comment ?
De plus en plus d’entrepreneuses ne rentrent plus dans des cases bien définies. De plus en plus, les bords des cases se floutent et on crée nos propres métiers. On utilise des « étiquettes » pour se rattacher à des choses connues, mais au fond ce qu’on fait est plus large que ça.
Personnellement, je suis beaucoup plus sensible au ressenti, à ce qui émane de la personne et de son entreprise. Ce qui va différencier deux personnes avec la même « étiquette », c’est leur façon de faire, l’énergie qu’elles vont y insuffler et qui leurs seront propres ✨
(Article publié le 14 août 2019 sur mes réseaux sociaux)
0 commentaires